Kinshasa, 27 janvier 2025 (ACP).– Le prix d’un kilogramme du cacao, produit d’exportation de la République démocratique du Congo, a enregistré une baisse de 2,83% sur les marchés internationaux, en se négociant à 7,90 USD le kilogramme la semaine du 24 au 29 mars 2025 contre 8,13 USD, la semaine précédente, selon un communiqué consulté jeudi par l’ACP.
« Le cacao enregistre une baisse de prix sur les marchés internationaux, au cours de la semaine du 24 au 29 mars 2025, en se négociant à 7,90 dollars américains contre 8,13 USD la semaine précédente, soit une baisse de 2,83% le Kilogramme », a- t-on lu dans le communiqué de la Commission nationale des mercuriales du ministère du Commerce extérieur.
Selon la source, outre le cacao, six autres produits agricoles et menus forestiers sont également en baisse de prix à l’international durant la semaine sous examen, à savoir: le café arabica, la papaïne, les Écorces de quinquina, le poudre Totaquina, le sel de Quinine et la Rauwolfia. Ils se négocient respectivement à 7,42 USD le kilogramme; 22,20 USD le kilogramme; 1,56 USD le kilogramme ; 55,20 USD le kilogramme; 93,84 USD le kilogramme et 1,56 USD le kilogramme, la semaine en exécution contre 7,46 USD ; 22,24 USD ; 1,58 USD ; 55,80 USD ; 94,86 USD et 1,58 USD la semaine du 17 au 22 mars 2025, soit un recul de 0,54% ; 0,18% ; 1,27%; 1,08%; 1,08% et 1,27%.
Cependant, la source a indiqué qu’un seul produit agricole et menu forestier est resté stable à savoir le caoutchouc, négociable à 1,11 USD le kilogramme, durant la période sous-examen. Seul le café robusta est en hausse de 0,74%.
Le cacao avait enregistré une baisse de prix sur les marchés internationaux, au cours de la semaine du 6 au 11 janvier 2025, en se négociant à 10, 89 dollars américains contre 11,59 USD la semaine précédente, soit une baisse de 6,04% le Kilogramme.
La hausse, la baisse et la stabilité des prix des produits miniers marchands, agricoles et menus forestiers, a souligné le document, sont consécutives à l’offre et la demande sur les marchés internationaux ainsi que de la chaîne d’approvisionnement.
Ces fluctuations ont un impact direct sur l’économie congolaise, fortement dépendante des exportations des matières premières, notamment dans le secteur minier. ACP/JF