Kinshasa, 21 mars 2021(ACP).- La doctorante de l’Université du CEPROMAD (UNIC), Gabrielle Layinga a souligné, samedi, la nécessité d’appliquer son modèle «CARA», une solution idéale parmi tant d’autres pour consolider le leadership féminin d’excellence.
Mme Layinga qui l’a dit, samedi, lors de la célébration du mois dédié à la femme à l’UNIC, a fait savoir que ce modèle, veut dire s’adapter dans tous les domaines de la vie et répondre à ses exigences.
Intervenant sur le thème international selon l’ONU Femmes « Leadership féminin, pour un futur égalitaire dans le monde de la COVID-19 », elle a signifié que le modèle CARA, est une figure à quatre cotés dont chaque lettre représente une lettre de l’alphabet français qui sous-tend les piliers dudit modèle.
Ainsi la lettre C, représente selon elle, les défis capacitaires, la lette A, les défis d’appropriation, la lettre R, les défis de reconnaissance et la lettre A, les défis d’autonomisation que la femme doit rechercher et faire preuve pour exercer le leadership d’excellence.
Elle a évoqué dans ces différents défis, la nécessité de la compétence, l’éducation ou la formation, l’auto-formation, l’occupation ou la main mise sur le secteur que la femme occupe, la responsabilité à assumer, l’engagement, la communication et le courage.
Mme Layinga a renseigné qu’elle a réalisée une enquête dans le secteur de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU) à Kinshasa pour savoir la place qu’occupe la femme. Dans cette quête de leadership féminin d’excellence, elle a souligné la nécessité de porter l’attention aux autres, collaborateurs, à la sollicitude, à la recherche de consensus, à l’autonomisation dans la gestion de la chose privée comme publique, etc. ACP/CL/May