Kinshasa, 22 février 2022 (ACP).- Le coordonnateur de l’ONG «Belle œuvre sociale», Guy Likangwa, a édifié mardi, au cours d’une conférence-débat organisée en son siège dans la commune de Kalamu, ses membres à la protection des droits fondamentaux des femmes dans le droit international.
Selon M. Likwanga, depuis la création de l’ONU, celle-ci fait de l’égalité entre l’homme et la femme, une des priorités fondamentales des droits de l’homme. Les signataires de la charte des Nations Unies, adoptée en 1945, déclarent qu’ils ont résolu à proclamer de nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité de la personne humaine et dans l’égalité des droits de l’homme et de la femme.
Il a ajouté qu’en son article premier la charte dispose, en outre, que l’un des buts des Nations Unies est d’encourager le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, c’est-à-dire, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion. Celle-ci répète cette interdiction de la discrimination fondée sur des considérations de sexe dans ses articles 13. Créée à Kinshasa en 2008, l’ONG «Belle œuvre sociale» a pour objectif l’encadrement des femmes. ACP/ODM/FMB/KMT/MNI