La littérature africaine a une place dans l’histoire du continent, affirme le ministre d’Etat Manjolo

Kinshasa 09 septembre 2020 (ACP).- Le ministre d’État, ministre de la Coopération internationale, intégration régionale et Francophonie, Me Pépin Guillaume Manjolo, a affirmé, dimanche, que la littérature africaine trouve une place active dans l’histoire du continent depuis les indépendances, dans une communication faite à l’occasion de la célébration, à Brazzaville, de la 28ème   édition de la journée internationale de l’écrivain.

Me Pépin Guillaume Manjolo a  axé son intervention sur la place actuelle de la littérature africaine, les malaises auxquels elle se trouve confrontée et son intérêt dans l’émergence des peuples.

Il a suggéré l’inscription de la question de la littérature africaine à l’ordre du jour de la prochaine commission mixte RDC-Congo/Brazzaville.

Pour le ministre d’Etat Manjolo, la lecture permet de développer la capacité de production intellectuelle, enrichir le vocabulaire et la rédaction, et ouvrir l’imaginaire avant d’indiquer que   l’écriture reste lorsque tout est parti. Il a rendu un vibrant hommage à l’écrivain de Brazzaville, Henry Ndombo, pour la qualité de ses œuvres d’esprit.

La 28ème édition de la journée internationale de l’écrivain a été organisée en l’honneur de l’écrivain et penseur, Henry Djombo, ministre d’État en charge de l’Agriculture,  Pêche et Élevage de la République du Congo, à travers la présentation de ses deux derniers ouvrages : «L’avenir est dans ma tête» et «On arrivera toujours quelque part».

La cérémonie a réunie de nombreux hommes de lettres, amoureux de l’écriture et de la lecture, et des délégations en provenance de la France, du Sénégal, du Bénin et de la RDC.

L’Association panafricaine des écrivains qui a été instituée en 1992 est célébrée  le 07 novembre de chaque année sur tout le continent africain. Elle immortalise les auteurs d’ouvrages, rappelle-t-on. ACP/Nat/May

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