Kinshasa, 29 juillet 2021 (ACP).- La présidente/RDC de l’Alliance internationale des femmes avocates(AIFA), Me Joël Kona MatadiWamba, a soutenu, au cours d’un entretien mercredi avec la presse, que pour réussir dans leur vie professionnelle, les femmes doivent se mettre en avant et passer plus de temps à communiquer et à développer leur réseau. « Le président est en train d’inciter les femmes à se mettre en avant , à sortir du lot et à prendre le même risque que les hommes sur la scène publique, dans les institutions politiques ou comme mandataires », a dit Me Kona, satisfaite de la dernière déclaration du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi souhaitant que son successeur soit une femme.
Me Joël Kona, citant la Banque mondiale, a ajouté que le taux élevé de pauvreté dans le monde se justifie par l’absence des femmes comme actrices du développement, celles-ci ne travaillant pas ou travaillant à peine. « Quand la femme prend le devant, la société se développe. Il y a un rapport qui donne plusieurs raisons pour lesquelles les femmes sont sous-employées dans le milieu du travail, et la conséquence est qu’il y a un fort taux de pauvreté. Si notre pays est parmi les plus pauvres, c’est à cause de ce fait là », a-t-elle fait savoir. La présidente/RDC de l’AIFA est néanmoins contente des avancées significatives, quant à la représentativité de la femme vécue actuellement, grâce à la Vision du Chef d’Etat qui, insiste-t-elle, veut mettre la femme en avant plan, et en évidence, pour avoir sa part de participation à la vie publique.
Le maitre-mot : communiquer
Parlant de son expérience, la présidente de l’AIFA a reconnu qu’elle accueille régulièrement des femmes dans son cabinet, mais qu’elle constate que ces dernières n’évoluent pas aussi bien que les hommes. Pour elle, le maitre-mot c’est « communiquer », comme une des solutions pour faire bouger les lignes, pour que la femme soit mieux reconnue dans son travail.
«C’est souvent suite à un blocage dans leur carrière que les femmes viennent me voir. Pour avoir le temps de communiquer, les femmes doivent gagner du temps et alléger leur planning. Pour cela, elles doivent accepter de dire non à certaines demandes et ne pas hésiter à déléguer des tâches, à demander de l’aide et du renfort à leurs patrons », a-t-elle poursuivi.
AIFA est une Association sans but lucratif (ASBL) dont l’objectif primordial est de garantir la promotion des avocates et, évidemment, celle de la femme
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Me Joël Kona, citant la Banque mondiale, a ajouté que le taux élevé de pauvreté dans le monde se justifie par l’absence des femmes comme actrices du développement, celles-ci ne travaillant pas ou travaillant à peine. « Quand la femme prend le devant, la société se développe. Il y a un rapport qui donne plusieurs raisons pour lesquelles les femmes sont sous-employées dans le milieu du travail, et la conséquence est qu’il y a un fort taux de pauvreté. Si notre pays est parmi les plus pauvres, c’est à cause de ce fait là », a-t-elle fait savoir. La présidente/RDC de l’AIFA est néanmoins contente des avancées significatives, quant à la représentativité de la femme vécue actuellement, grâce à la Vision du Chef d’Etat qui, insiste-t-elle, veut mettre la femme en avant plan, et en évidence, pour avoir sa part de participation à la vie publique.
Le maitre-mot : communiquer
Parlant de son expérience, la présidente de l’AIFA a reconnu qu’elle accueille régulièrement des femmes dans son cabinet, mais qu’elle constate que ces dernières n’évoluent pas aussi bien que les hommes. Pour elle, le maitre-mot c’est « communiquer », comme une des solutions pour faire bouger les lignes, pour que la femme soit mieux reconnue dans son travail.
« C’est souvent suite à un blocage dans leur carrière que les femmes viennent me voir. Pour avoir le temps de communiquer, les femmes doivent gagner du temps et alléger leur planning. Pour cela, elles doivent accepter de dire non à certaines demandes et ne pas hésiter à déléguer des tâches, à demander de l’aide et du renfort à leurs patrons », a-t-elle poursuivi.
AIFA est une Association sans but lucratif (ASBL) dont l’objectif primordial est de garantir la promotion des avocates et, évidemment, celle de la femme dans sa profession, rappelle-t-on.