Kinshasa, 3 décembre 2020 (ACP).- L’Organisation internationale du Travail (OIT), estime qu’il y aurait aujourd’hui plus de 40 millions de victimes de travail forcé dans le monde, ont rapporté jeudi les agences internationales de presse.
L’organisation internationale avait alors proposé un protocole, pour empêcher des pratiques telles que la servitude pour dettes, le mariage forcé et la traite d’êtres humains.
Une dizaine de pays africains comme le Mali, la Côte d’Ivoire ou encore la Mauritanie y ont déjà adhéré.
En Afrique, le sort de nombreuses organisations des droits de l’homme avaient alerté sur le sort de migrants kidnappés sur leur route. Aujourd’hui, les Nations Unies affirment que la Covid-19 pourrait contrecarrer les progrès dans la lutte contre l’esclavage moderne. ACP /FNG/Awa