Kinshasa, 05 août 2020 (ACP).- La femme africaine doit nécessairement brosser un bilan sur l’effectivité de ses droits en Afrique en général et de manière particulière en RDC a indiqué Me Joséphine Mbela, chargée des plaidoyers et de l’administration au sein de l’association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) au cours d’un entretien mardi avec l’ACP, en marge de la journée internationale de la femme africaine.
Pour cette activiste de droits de l’homme, Cette démarche permettrait également à la gente féminine de maintenir allumée la flamme de l’engagement, du dévouement et du leadership des femmes et des filles congolaises afin qu’elles puissent relever tout le défis sur la promotion et la défense de leurs droits sur le continent qui leur impose toute sorte de discriminations émanant des considérations socioculturel et parfois aussi des lois nationales.
D’après elle, la femme doit s’approprier cette journée, celle qui commémore la «femme africaine» dont le thème était axé sur «renaitre de ses cendres», qui doit rester graver dans sa mémoire pour que d’ici à l’an 2030 que l’on atteigne le quota de la parité 50/50 tout en continuant de militer contre toutes les discriminations à son égard. ACP/