Kinshasa, 12 mars 2024 (ACP).- L’entraîneur de V.Club a estimé, mardi, en conférence de presse que son équipe doit se méfier de Lupopo, ce mercredi, au stade des Martyrs, à Kinshasa, en République démocratique du Congo , en match de la 3ème journée, des play-offs, de la Ligue nationale de football (Linafoot),
« Nous devons nous méfier de Saint Eloi Lupopo après ces deux premiers résultats nuls dans ces play-offs. Cela n’enlève en rien les valeurs intrinsèques que ce club regorge », a déclaré Ouaddou Abdeslam.
Le technicien marocain a fait savoir que quoiqu’il en soit, V.Club descendra sur le terrain, pour gagner même si la tâche ne lui sera pas facile. « Nous avons fait un bon résultat à Lubumbashi. Nous l’avons vite savouré et on y a vite tourné le dos. Nous nous sommes replongés dans ce match, avec l’envie de performer à domicile même sans public. Somme toute, on s’est bien préparé avec une bonne régénération physique. Toutefois, nous sommes conscients que la tâche ne nous sera pas aisée », a dit Ouaddou Abdeslam, coach des Dauphins noirs de Kinshasa.
« Nous avons oublié notre passé récent des deux nuls »
(Entraîneur de Lupopo).

« Nous avons oublié notre passé récent émaillé des deux nuls. Il nous a servi, néanmoins, de miroir pour rebondir du bon pied. Lupopo est prêt pour affronter V.Club mais, doit rester tel sans se préoccuper de son adversaire qui connait des mutations en interne », a déclaré Mohamed Magassouba.
Selon lui, les play-offs sont une course de fond et qui se jouera jusqu’ au bout. « Voir Lupopo débuter avec deux nuls ne signifie pas que les cheminots ont tout perdu. Les play-offs ressemblent à une course de fond où tout se joue jusqu’au bout et que rien n’est, à priori, perdu », a expliqué l’entraîneur Malien.
« Si nous voulons avoir des résultats escomptés, nous devons changer d’esprit tant pour les joueurs, les membres du staff technique, les dirigeants et les supporteurs. La culture du club voudrait que l’on redouble d’efforts, la main dans la main, pour rebondir ensemble. Et cela requiert de la patience », a conclu Mohamed Magassouba.
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