Kinshasa, 19 juillet 2023 (ACP).- Une matinée axée sur la paix et les droits de l’homme en République démocratique du Congo a été organisée mercredi à Kinshasa, pour l’exécution de la résolution de la conférence universelle sur la paix, a constaté l’ACP.
« Cette journée internationale sur la paix et les droits de l’homme en RDC est une occasion pour l’exécution des résolutions de la conférence universelle sur la paix tenue le 5 septembre 2018 au parlement européen à Bruxelles, permet de vulgariser les droits humains et le développement par des bienfaisantes », a déclaré le directeur général du Conseil universel sur la paix des Nations et des continents (CULPAC), Daniel Santu Biko, au cours de cette matinée. Et d’ajouter : « Il y a plus de 45 ans, « CULPAC », une structure apolitique, lutte pour rapprocher, rassembler et unir les femmes, les hommes et les enfants de tout horizon et sans aucune discrimination en vue de promouvoir, renforcer, consolider et rétablir la paix partant d’une famille, d’un voisin et d’une nation » a-t-il fait savoir.
Pour Daniel Santu Biko, la paix n’est pas seulement l’absence de bruit des armes mais tout ce qui ennuie, complique, détruit le mental de toute personne, avant de souligner que la paix est un bien précieux, qui, si elle règne dans la profondeur sereine du cœur et de l’esprit, elle se manifeste aussi dans le rapport avec les autres sur un plan vaste. Pour sa part le ministre universel pour la paix, le prophète Dominique Khonde Mpolo, a indiqué que sans la paix et le respect des droits de l’homme, un pays ou une nation ne peut se développer. « Raison pour laquelle« CULPAC » s’est fixée pour mission, entre autres, de s’investir pour soutenir les personnes vulnérables et de promouvoir les droits de l’homme.
Par ailleurs, la députée européenne et 1ère vice-présidente du parlement panafricain, Pierrette Herzberger Fofana, a conscientisé les jeunes à s’investir dans le développement de la paix et que cette paix soit pour tous les jeunes, un objectif essentiel. Elle a précisé que la participation des jeunes, plus particulièrement des filles aux questions qui les concernent fait partie des droits fondamentaux reconnue par les Nations unies et la charte africaine de la jeunesse. Cette charte vise à protéger les jeunes contre la violence, la discrimination et garantit la liberté de la parole, d’association, de religion. Elle contribue également à la promotion et à la participation des jeunes dans la société ainsi qu’au développement de la culture de la paix.
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