Le Président Félix Tshisekedi tient au fonctionnement du Fonds de l’Education

Kinshasa, 14 juin 2022 (ACP).- Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, tient au    Formation  (FPEF), devant venir en appui au secteur de l’éducation.

Le ministre de la Communication et médias, porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe
qui l’a indiqué dans son compte rendu, de la cinquante-septième  réunion du Conseil des ministres, a fait savoir que  le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi a, à cet effet, appelé les ministres concernés à prendre, dans le meilleur délai et au-delà de leurs attributions ordinaires, les Arrêtés interministériels d’application ad hoc pour permettre au FPEF de bien accomplir ses missions.

«L’éducation nationale et la recherche scientifique constituent le secteur stratégique pour le développement durable de notre pays», a rappelé le Président de la République avant de souligner que les réformes en cours dans le secteur de l’enseignement supérieur et universitaire, ainsi que l’impulsion nécessaire à donner dans les sphères de la formation professionnelle et de la recherche scientifique requièrent des ressources importantes et une forte implication des ministère concernés, dont l’Industrie, les Mines, le Travail et prévoyance sociale, la Formation professionnelle ainsi que celui des Postes, télécommunications, nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Ces ministères sont concernés par les aspects techniques, administratifs et financiers de la mise en œuvre du Décret n°21/06 du 24 novembre 2021 portant création, organisation et fonctionnement du FPEF.

Le Fonds de promotion de l’éducation et de la formation (FPEF) est un établissement public créé par le Premier ministre. Il dispose d’une personnalité juridique et d’une autonomie financière, placé sous la tutelle du ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST).

La RDC élue Commissaire et vice-présidente du Bureau Permanent de l’AFCONE

La République Démocratique du Congo a été élue Commissaire et vice-présidente du Bureau Permanent de la Commission Africaine de l’Energie Nucléaire (AFCONE, lors de la 5ème
Session de la Conférence des Etats Parties au Traité de PELINDABA.

Le ministre de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, José Panda, qui l’a informé au Conseil des ministres, a fait savoir que «cette élection appelle l’installation en urgence, d’une structure interministérielle qui s’occupera de l’harmonisation des actions et des initiatives provenant de la Commission Africaine de l’Energie Nucléaire».

Selon ce dernier, la RDC tirera l’avantage de redynamiser sa diplomatie et d’intensifier la coopération régionale et internationale laquelle va privilégier des partenariats gagnant-gagnant.

La Commission africaine de l’Énergie nucléaire (AFCONE) a été créée dans le cadre du Traité sur la Zone exempte d’armes nucléaires en Afrique, connu également sous le nom de «Traité de Pelindaba».

Entré en vigueur le 15 juillet 2009, ce traité fait de l’Afrique une zone exempte d’armes nucléaires.

Il donne mandat à l’AFCONE de contrôler le respect par les États parties de leurs obligations, et de promouvoir l’utilisation pacifique de la science et la technologie nucléaires dans divers domaines, y compris la santé, l’agriculture, l’industrie et l’énergie ACP/

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