Kinshasa, 30 mars 2025 (ACP).- Le sénateur Salomon Idi Kalonda de la République démocratique du Congo a eu la pensée pieuse vis-à-vis de souffrants, à l’occasion de la fin du Ramadan dimanche, marquant ainsi la «fête de rupture» du jeûne autrement nommée Aïd-el-Fitr, a-t-on lu sur son compte X.
« En ce jour sacré de Aïd-el-Fitr pour les musulmans et en cette période de carême, mes pensées vont tout droit aux Congolais qui souffrent, qui sont dans des hôpitaux malades, qui croupissent dans des prisons, qui sont des déplacés de guerre. Mes prières vous accompagnent. Que Dieu tout puissant soit votre dernier rempart», a-t-il écrit.
Cet élu des élus du Haut-Katanga, musulman de son état et qui a toujours placé le Très Haut au centre de ses préoccupations, connu pour ses hormones légendaires aux démunis, même en dehors de la période du Ramadan, a poursuivi en invitant les uns et les autres à ne pas perdre espoir, rassurant que demain sera meilleur qu’aujourd’hui.
L’attention du proche collaborateur de Moïse Katumbi a été notamment orienté vers des Congolais déplacés de guerre, prisonniers, malades et ceux qui croupissent encore parfois innocemment dans des prisons.
La fête d’Aïd-el-Fitr marque le début du dixième mois du calendrier musulman, le Chawwal. Cette fête de rupture est l’occasion de se rassembler en famille ou entre amis autour de la prière rituelle de fête, et de partager des moments joyeux autour de bons repas. Les enfants reçoivent souvent des cadeaux et des sucreries à cette occasion, mais ils ne sont pas les seuls. Les adultes peuvent aussi recevoir des présents.
L’Aïd el-Fitr est aussi une occasion pour les musulmans de pratiquer l’aumône, une obligation religieuse nommée Zakat al-Fitr, qui consiste à être solidaire avec les plus démunis à la fin du Ramadan. Mais même en dehors de cette période, l’aumône faisant partie des cinq piliers de l’Islam.
ACP/Célestin Lutete