Entrepreneuriat : le «business model» expliqué aux porteurs d’idée d’entreprise

Kinshasa, 10 novembre 2024 (ACP).- Le business model a été expliqué samedi, aux porteurs d’idée  d’entreprise, lors de la clôture de la formation organisée par l’Agence nationale de développement de l’entrepreneuriale (Anadec), sur les fondamentaux (ABC) de l’entrepreneuriat, à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo. 

«Aujourd’hui essentiellement, puisqu’il s’agit de la clôture, nous avons expliqué le business model, une approche qui permet à tout porteur d’idée ou un entrepreneur déjà établi de pouvoir structurer son niveau de projet, de voir quels sont le partenariat clé, les ressources nécessaires, la stratégie à mettre en place, pour lancer un produit et d’atteindre une cible», a déclaré Papy Mulumba, formateur et responsable des services d’accompagnement à l’Anadec.

Il a fait savoir que le business model est une étape de préparation à l’élaboration d’un business plan.

« Cette formation avait pour objectif de poser les bases, chez les porteurs d’idées, leur montrer quelles sont les idées phares, les prérequis à mettre en place pour lancer son projet d’entreprise», a-t-il dit.

Pour sa part, Jean-Philippe  Kobo Longo, directeur de formation à l’Anadec a signifié que «ces séances de formation c’est par rapport à la maturation des idées l’entreprise, et pour ce faire il faut également que les porteurs d’idées fassent une descente sur terrain, examiner les potentiels clients pour voir si réellement cette idée-là est vraie ou non. Il faut enfin les aider à formaliser la création de l’entreprise avec les documents consorts».

Il a rappelé que le directeur général de l’Anadec, le professeur Godefroy Kizaba avait promis d’assister les participants à atteindre leurs attentes sur cette formation, vu l’importance de programmer de leçons à dispenser.

De son côté, Peter Makanda, l’un des participants, a fait savoir qu’il est content de la formation qui a permis qu’il sorte de l’ignorance. « Je connais maintenant par où  passer, qu’est-ce qu’il faut faire pour que mon entreprise puisse connaître du succès», a-t-il conclu. 

ACP/C.L.

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