Kinshasa, 13 mars 2024 (ACP).- Les participants à l’atelier de validation du document sur la politique et la législation sur les eaux souterraines en République démocratique du Congo (RDC), ont été appelés mercredi à Kinshasa à proposer la meilleure façon d’exploiter et de gérer cette ressource.
« Nul n’ignore que notre pays est riche en ressources hydrauliques et que nous avons plusieurs ressources d’eau douce que nous pouvons transformer en eau potable dont la population a besoin, mais jusqu’à ce jour nous avons un taux de desserte en eau potable très faible », a déclaré Mongo Pasi Sandja Pele, secrétaire général aux Ressources Hydrauliques et Electricité.
« Le peuple fait recours aux eaux souterraines (forages) pour répondre à ses besoins, mais cela se fait d’une façon désordonnée et sauvage sans tenir compte des normes techniques. C’est ainsi qu’à ce jour SADC-GMI (SADC Groundwater Management Institute) nous a amené et proposé la meilleure façon d’exploiter et de gérer cette ressource en eau pour éviter le pire dans les jours avenir », a-t-il indiqué,.
Pour Mongo Pasi Sandja Pele, l’objectif principal de cet atelier est de faire une validation technique solide de la feuille de route ou document sur le développement politique, juridique et institutionnel, ainsi qu’à partager ses connaissances et ses idées, et d’apporter des amendements pertinents pour renforcer son contenu afin de parvenir ensemble à avoir un document fiable et efficace pour la gestion des eaux naturelles souterraines en RDC.
Les participants à cet atelier sont notamment les représentants des Institutions, les représentants de la Société Civile et les représentants des Organisations ou Programmes-Projets. ACP/