Kinshasa, 29 février 2024(ACP).- Un appel a été lancé jeudi à Kinshasa, en République démocratique du Congo, aux chevalières de la plume à redoubler d’efforts pour promouvoir une couverture médiatique inclusive, équilibrée et respectueuse pendant le mois de mars dédié aux femmes, a-t-on appris d’un communiqué.
« Le mois de mars est bien plus qu’une simple période de célébration. C’est une opportunité pour nous toutes de mettre en lumière les luttes, les réussites et les défis auxquels les femmes sont confrontées à travers le monde », a-t-on lu dans un communiqué signé par Grace Ngyke, présidente de l’Association congolaise des femmes journalistes de la presse écrite (ACOFEPE).
« C’est aussi un moment privilégié pour réaffirmer notre engagement en faveur de l’égalité des sexes, de la justice sociale et de la défense des droits fondamentaux des femmes », a-t-elle ajouté
Pour Mme Ngyke , cette période est cruciale où le monde s’apprête à célébrer le mois de mars, dédié à la reconnaissance et à la célébration des droits des femmes que l’Association congolaise des femmes journalistes de la presse Écrite (ACOFEPE) se joint au monde, pour adresser un message vibrant à toutes les chevalières de la plume qui, par leur engagement et leur détermination, façonnent chaque jour le paysage médiatique et contribuent à l’avancement de la société.
Elle a souligné qu’en tant que femmes journalistes, « nous avons le pouvoir unique de donner une voix à celles qui sont souvent marginalisées et exclus ».
Le devoir de défendre les droits des femmes
« Nous avons le devoir de raconter leurs histoires, de mettre en lumière leurs luttes et de défendre leurs droits avec intégrité et détermination», a dit la coordonnatrice de l’ACOFEPE.
Elle a, en outre, souhaité un joyeux mois de mars à toutes les chevalières et que leurs plumes continuent de porter haut les valeurs de dignité, d’égalité et de justice pour toutes les femmes.
« Ensemble, continuons à élever nos voix, à briser les barrières et à œuvrer pour un avenir où chaque femme et chaque fille pourra réaliser son plein potentiel, sans crainte ni discrimination », a poursuivi Mme Grace Ngyke.
ACP / KHM/ODM