La littérature, un genre humain qui appartient à la totalité de l’humanité, selon le SG des éditions Miezi

Kinshasa, 28 mars 2021 (ACP).- Le secrétaire général des éditions Miezi, Djodji Belau, a affirmé, samedi, que la littérature est un genre humain qui appartient à la totalité de l’humanité, lors d’une conférence-débat organisée dans la commune de Kasa-Vubu.

Organisée sous le thème « l’écriture a-t-elle un sexe? »,  cette conférence-débat a eu objectif de replacer la littérature au centre de la considération humaine dans les deux genres, masculin et féminin.

« La littérature est un genre humain, elle appartient à la totalité de l’humanité. Quand on parle lettre, il n’y a pas une considération sexuelle. Il n’y a pas une considération de genre. Les femmes que les hommes écrivent et influencent les lecteurs par leurs écrits », a-t-il dit.

Quant à Mme Jocelyne Aziza Kajangu, une des écrivains et intervenantes à la conférence, la femme a sa place partout dans la société, elle doit être forte au travers son opinion et son écriture.

« La femme doit assumer ses idées, aller jusqu’au bout des choses. La femme congolaise doit cesser d’être attentiste, elle doit s’outiller pour promouvoir sa juste valeur afin qu’il n’y ai pas de différence dans tous les domaines », a-t-elle martelé.

Pour Jocelyne Aziza, l’écriture est une forme sommeil de la pensée, elle est humaine et n’a pas de sexe.

De son côté, Elisabeth Mweya Tol’Ande, experte au comité de suivi de la réforme de la police, en charge de programme et une des intervenants, a encouragé les femmes à écrire et à faire des publications de ce qu’elles écrivent.

« Le genre ne se définit pas à titre de textes, c’est un variable qui tient compte du milieu, de sa culture, de l’environnement et des situations », a-t-elle indiqué. ACP/

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