Kamanyola, 6 janvier 2025 (ACP).- Les conséquences des dislocations des foyers sans mariage officiel, ont été décriées, lundi, à Kamanyola dans le territoire de Walungu au Sud-Kivu dans l’est de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP dans un entretien.
«Le taux de rupture des foyers sans mariage officiel est supérieur à Kamanyola. Cet état de chose, orchestre plusieurs conséquences socialement. Dans le constat, les foyers fondé sur un début de manque d’instruction, des déclarations solennelles à l’état civil, à l’église ou entre les parents, sont sources des instabilités et se rompent simultanément», a fait savoir Me. Marie-Claire Ndondo, femme leader à Kamanyola,
Et d’ajouter que : «actuellement les conséquences de ces unions rompues sont vécues terriblement à Kamanyola. Des hommes et femmes en séparation sont devenus vedettes des plusieurs autres partenaires, leurs enfants abandonnés sont des figues de la rue, la débauche a pris d’ampleur, des déceptions tendant aux suicides, les touts sont visiblement enregistrés à Kamanyola surtout durant cette année 2024», a-t-elle déclaré.
Me. Marie-Claire Ndondo, a fait également entendre que les causes de ses dislocations sont partagées. Dans le foyer entre époux et épouses; dans la société entre animateurs. Des organisations, l’Etat, etc., ne se donnent plus assez le courage de sensibiliser la population à faire les mariages officiels. On souhaite voir cette nouvelle année 2025, les organisations, l’Etat congolais, renforcer les mécanismes pour dévier ou réduire le taux des mariages non reconnus, les divorces, etc…
Signalons que la conjoncture économique actuelle, fait raison à certains de faire des mariages officiels, encore cette même conjoncture et le manque d’emploi sont sources des dislocations des foyers. ACP/C.L.