Kinshasa, 07 janvier 2024 (ACP).- Les cadres et agents de l’Agence nationale de développement de l’entrepreneuriat congolais (Anadec) ont été appelés, mardi, au respect des textes qui régissent cette entreprise publique, lors d’une séance de travail à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC).
« L’objectif de cette activité est la recherche de la paix sociale au sein de notre entreprise, dans le respect des textes, notamment le statut du personnel. Ainsi, je vous demande de respecter ces textes pour le bon fonctionnement de cet établissement surtout que nous venons de commencer une nouvelle année », a déclaré Godefroy Kizaba, directeur général de l’Anadec.
Il a fait savoir qu’un agent de l’Anadec a le devoir de servir l’Agence avec fidélité, dévouement, dignité et intégrité, montrant en toute circonstance, d’un engagement sans faille avec effort soutenu et d’un esprit civique en vue de s’améliorer en se soumettant à un perfectionnement permanent.
« Un agent veille, en toute occasion, à la sauvegarde des intérêts de l’Agence et a le devoir d’accomplir personnellement et consciencieusement toutes les obligations qui, en vertu de ses fonctions, lui sont imposées par les lois », a-t- il souligné.
Le directeur général a, en outre, évoqué les responsabilités d’un agent à l’égard de ses supérieurs hiérarchiques, dans l’exécution des ordres donnés.
L’agent est, en outre, tenu à la politesse, tant dans ses rapports de service avec ses supérieurs, collègues ou subalternes que dans ses rapports avec le public, a -t-il insisté, relevant qu’il est tenu de veiller à l’observance des règles d’éthique professionnelle à travers notamment la tenue des propos courtois, un accoutrement et une coiffure décents.
Inscrit dans le cadre du développement harmonieux des activités au sein de l’Anadec, cette séance de travail a connu la participation des permanents de tous les syndicats à l’Anadec, les délégués effectifs de syndicats de base, les directeurs de l’inspection, de service juridique et des finances, ainsi que la présence de l’inspecteur urbain du travail.
ACP/UKB