Kinshasa, 19 février 2025 (ACP).– Le prix d’un kilogramme du café robusta de la République démocratique du Congo (RDC) accuse une hausse de 0,90 % à l’internationaux, en se négociant à 5,63 USD, la semaine du 17 au 22 février 2025 contre 5,58 USD la semaine précédente, selon la mercuriale du ministère du Commerce extérieur consultée mercredi par l’ACP.
« Le café robusta enregistre une hausse de prix sur les marchés internationaux durant la période du 17 au 22 février 2025, en se négociant à 5, 63 USD contre 5,58 USD la période précédente, soit une hausse de 0,90% le Kilogramme », a-t-on lu.
Selon le document, outre le café robusta, un autre produit agricole, à savoir le café arabica accuse aussi une augmentation de prix sur les marchés internationaux. Ce produit agricole se négocie à 7,88 dollars US le kilogramme, la période sous examen contre 7, 38 dollars américains, la période précédente, soit une hausse de 6,78%.
Comparé à la semaine du 10 au 15 février 2025, le prix d’un kilogramme du café robusta, avait observé une hausse de 1,45 % sur les marchés internationaux, en se négociant à 5,58 USD contre 5,50 dollars US la semaine avant.
La même source a renseigné que six autres produits agricoles et menus forestiers sont restés stables sur les marchés internationaux, durant la période sous examen, notamment le caoutchouc, la papaïne, les écorces de quinquina, le poudre de totaquina, le sel de quinine et le rauwolfia. Ces produits se négocient respectivement à 1.10 USD; 23,16 USD ; 1,63 dollars américains ; 57,60 dollars US ; 97,92 USD et 1,63 USD, le kilogramme à son niveau précédent.
Par ailleurs, le cacao accuse une baisse au cours de la semaine sous-examen en se négociant à 9,87 USD le kilogramme contre 10,71 USD, soit une baisse 7,84%.
La hausse, la baisse et la stabilité des prix des produits miniers marchands, agricoles et menus forestiers, a indiqué la source, sont consécutives à l’offre et la demande sur les marchés internationaux et de la chaîne d’approvisionnement.
Ces fluctuations ont un impact direct sur l’économie congolaise, fortement dépendante des exportations des matières premières, notamment dans le secteur minier.
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