Kinshasa, 17 Aout 2020 (ACP).- La reprise de toutes les activités en RDC, après la levée de l’état d’urgence sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, s’avère nécessaire pour réduire les violences notamment physiques et sexuelles subies pendant la période de confinement, a affirmé lundi, au cours d’un entretien avec l’ACP, Bernadette Mwelwa, une actrice sociale œuvrant pour le renforcement des droits de la femme et de la petite fille.
Selon cette défenseuse des droits humains, la promiscuité et surtout l’oisiveté ont été les facteurs majeurs à la base de ces actes ignobles commis principalement sur des couches populaires les plus vulnérables parmi lesquelles, les femmes et les petites filles, impactant négativement leur vécu au quotidien.
«Maintenant que cela est conjugué au passé, il importe que chacun se ressaisisse pour prendre les choses du bon côté et redoubler des efforts afin de bannir ces pratiques en se remettant résolument au travail, dans la perspective d’assurer à la RDC, un pays post conflit», l’émergence, a-t-elle dit, avant d’insister sur le respect absolu des gestes barrières, essentiels pour éviter l’explosion de cette pandémie. ACP/ODM/May/MNI
